Alors, déjà que d’en parler et de l’avouer(même s’il n’y a rien de honteux) est gênant, mais en plus, on va vousprouver qu’il est maintenant indispensable de parler de ses problèmessexuels à son médecin. De récentes études ont prouvé qu’ils étaientfortement corrélés à des maladies graves ou chroniques. Attention, or dequestion de se précipiter chez […]
Alors, déjà que d’en parler et de l’avouer(même s’il n’y a rien de honteux) est gênant, mais en plus, on va vousprouver qu’il est maintenant indispensable de parler de ses problèmessexuels à son médecin.
De récentes études ont prouvé qu’ils étaientfortement corrélés à des maladies graves ou chroniques. Attention, or dequestion de se précipiter chez son généraliste au moindre « problème », ilfaut que celui-ci dure dans le temps, ne soit pas isolé (votre mec peutêtre très fatigué ce jour là et tout « mou »…), et le plus souvent associéà d’autres signes, pas facilement repérables seuls mais à mettre en lienavec d’autres.
Chez les hommes, il s’agit souvent de troubles del’érection. Fréquents à partir d’un certain âge, ils peuvent être en lienavec des maladies cardiaques. Chez les femmes, il s’agit essentiellementde troubles du désir, souvent en lien avec la dépression.
Evoqués etidentifiés tôt, les problèmes sexuels associés à d’autres signes que votremédecin pointera permettront une prise en charge plus précoce, prédisantdonc une meilleure évolution. D’autres maladies ont aussi été découvertesen lien avec les problèmes sexuels : diabète, problèmes rénaux, hormonaux,sclérose en plaque, maladie de Parkinson, syndrome post-traumatique. Ilsseraient un premier signe d’alerte.
La fréquence des rapports est laquestion phare de l’entretien avec le médecin dans ce cadre. Alors, pasd’inhibition : si vous pouvez dépister le plus précocement possible uneéventuelle maladie et en plus résoudre les problèmes au lit avec Doudou :foncez !
Adeline M.