Les PZK, groupe formé par 5 amis âgés de 16 à 20 ans, sont devenus lesstars des cours de récré en un rien de temps grâce au buzz de lachanson Les Filles Adorent. De passage à Paris, nous avons rencontré deux membres du groupe PZK, Jean Louis Baptiste(JLB) et Clément Simplaere(KBC). Interview!
Salut les PZK, pourquoi avoir appelé le groupe ainsi ?
PZK: C'est un secret! On ne pourra donc pas vous le dire.
Kbc : On le dira surement plus tard…Et puis non, on vous le dira jamais.
Comment s'est formé le groupe ?
KBC : On s'est connu en 2002 au collège et on a monté le groupe en 2005.
Pour délirer on a fait de la musique.
La musique, c'est plus un délire qu'une passion ?
JLB : C'est une passion auss ! On fait de la musique en délirant, c'est ça le truc.
Comment avez vous débarqué chez Warnermusic ?
KBC : On a fait pas mal de sons entre 2005 et 2008. On a fait tourné nos sons dans les plate-formes digitales telque Myspace. Ensuite nous sommes partis à Montréal faire des sons. Celaa pas mal buzzé plus ou moins dans le nord de la France.
FinDécembre 2008, on a reçu un mail de EMI mais le deal n'était pas superintéressant. Ils voulaient nous transformer nos trucs. Tandis que chez
Warner, ils nous laissent faire plus de choses. Nous avons donc signé en Janvier dernier, chez Warner.
Qu'est ce qui vous plait le plus dans la vie d'artiste ?
PZK : Les soirées (rires…). Au début les interviews, c'était marrant. Ensuite, cela est devenu assez répétitif.
Quel est le message que vous souhaitiez transmettre à travers « Les filles adorent » ?
JLB : Il n'y a pas de message. (rires)
On était en studio et on a ressorti un texte et on s'est dit « Oh les filles adorent, ça tue comme texte ». Les musiciens ont donc sorti les guitares, les synthé et on retravaillé le texte. On a voulu faire un texte plus carré.
Nous avons souhaité taquiner les filles et on voulait sortir ce single en premier car le titre est assez fort.
Quand on chante dans le groupe PZK, ça aide à se faire draguer ou avoir une copine ?
PZK : ça aide forcément. Tu connais plus de monde donc plus d'ouvertures.
Vous êtes célibataires ?
KBC : J'ai quelqu'un dans ma vie.
JLB : Je suis célibataire.
Votre style de filles ?
JLB : Les filles naturelles !
Vous avez une anecdote à nous raconter sur votre premier amour, première expérience ?
JLB : A quinze ans, je suis tombé amoureux d'une fille dont sa mère me détestait et j'ai vomi sur le pare-brise de la voiture des parents et je me suis fait tué par ses parents. Après, je suis devenu célibataire.
KBC : Je m'en rappelle plus.
Que pensent vos parents de votre succès ?
KBC : Je ne sais pas. Ils sont dans le salon, ils regardent la télé (rires…).
JLB : Mon père est dans la musique depuis longtemps, ma famille est contente pour moi.
Que faites-vous si tout s'arrête ?
KBC : On continue dans la musique.
JLB : Ouais, on reste dans la musique.
KBC : A coté « des filles adorent », on fait d'autres sons qui n'ont rien avoir et qu'on ne fait pas connaitre tout de suite.
JLB: On prépare pleins de trucs à coté. On va faire des dj sets, on mixede l'électro. Pzk c'est assez teenager, nous allons évoluer par lasuite.
Quels sont vos prochains projets ?
PZK : On va faire quelques scènes. A Paris, nous allons plutôt faire des clubs tels que le baron et le Social Club.
Ensuite, nous ferons des dj sets partout en France.
Album « PZK » déjà dans les bacs.
Par Saad Merzak
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