Les marques de lingerie ont sorti le grand jeu pour la fête des mères
Ecrit par Justine Andansonle 1 juin 2009
Cette année, laissez vous tenter par de la lingerie pour la fête des mères. Empreinte et Eva Rachlin ont pensé à tout et sortent des modèles spéciaux pour l’occasion. Pour faire un beau cadeau, voici quelques tuyaux. Les sous-vêtements d’Empreinte et Eva Rachlin valent le détour. Depuis hier, la série limitée d’Eva Rachlin est disponible. […]
Cette année, laissez vous tenter par de la lingerie pour la fête des mères. Empreinte et Eva Rachlin ont pensé à tout et sortent des modèles spéciaux pour l’occasion.
Pour faire un beau cadeau, voici quelques tuyaux. Les sous-vêtements d’Empreinte et Eva Rachlin valent le détour. Depuis hier, la série limitée d’Eva Rachlin est disponible.
Empreinte présente une collection haute en couleurs
Quoi de mieux pour des mamans very sexy que de beaux sous-vêtements ? Empreinte sort sa collection pour les mamans sages ou les mamans glamours. Les ensembles sont aux couleurs de l’été. Rouges, bleus ou roses. Les prix pour les soutiens-gorges démarrent à 80 euros et pour les bas, à partir de 40 euros environ. Les dessous sont en dentelle, en tulle ou en tissu. Le travail réalisé sur les parures transforme soutiens-gorges, string, culottes et portes jarretelles en pièces de qualité. Les imprimés sont frais et à la mode. Rien de mieux pour votre maman que de beaux sous-vêtements, et faîtes d’une pierre deux coups, votre papa aussi devrait être ravi !
Attention, série limitée chez Eva Rachlin
Eva Rachlin sort un bustier et un boxer exclusivement pour la fête des mères. L’ensemble n’est en vente que jusqu’au 13 juin. Il est fait sur mesure pour épouser parfaitement les formes du corps. On comprend mieux pourquoi il coûte aussi cher. 99 euros pour le bustier et 49 euros pour le boxer. Seule la boutique Eva Rachlin les vend au 33 rue grenelle, à Paris. Vous pouvez être sûre que seules quelques chanceuses pourront profiter de ce modèle d’exception. Disponible en six coloris, il en ferait craquer plus d’une.
Par Charlotte Dehouve