Le jeu concours spécial SEXE de l'été : "Ma pire expérience sexuelle" vient de se terminer. Voici les témoignages des deux grandes gagnantes ! Vraies, cocasses et presque pathétiques... leurs histoires sont à mourir de rire !
1 er LOT : Linda, 26 ans
Un soir d’hiver, en rentrant chez moi à pied, après un apéro entre copines plutôt arrosé, j’ai croisé le regard de l’homme le plus sexy que j’ai jamais vu. Grand, brun, ténébreux, au visage d’ange mais au regard sombre, tant de contrastes qui m’ont fait craquer. Il était si beau, si viril avec son corps d’Apollon. Il s’est approché de moi en me fixant droit dans les yeux et nous nous sommes mis à discuter… Puis, on décide d’aller boire un verre au bar du coin de la rue, on a discuté pendant des heures… un verre, puis deux, puis trois… Il me propose de monter chez lui à quelques pas du bar. Ce n’est pas de moi mais j’ai cédé à la tentation. Il était magnifique avec un sex appeal incroyable.
Une fois chez lui, je me suis jetée sur lui pour l’embrasser car j’en mourrais d’envie. Il commence à me déshabiller délicatement et sensuellement, je fais de même jusqu’au toucher de son engin tout riquiqui. Il avait un sexe aussi gros que mon index !!! Mais était-il réellement en érection ? Je ne savais pas trop…
Je décide alors de lui faire une fellation. Mais lorsque je mis son sexe dans ma bouche, l’odeur la plus nauséabonde que je connaisse fut inhalée par mes narines ! Entre le vin ingurgité précédemment et ça, c’en était trop pour mon estomac ! Je n’en pouvais plus… j’avais plus qu’une envie : vomir ! Que faire ? J’ai couru aux toilettes, vomi tout ce que j’ai pu, pris mes affaires et partie en courant dans les escaliers sans même lui dire au revoir !!!
Comment un homme aussi beau pouvait-il sentir aussi mauvais ? C’était vraiment ma pire expérience sexuelle … sans l’ombre d’un doute.
A présent mon dicton préféré : « méfiez vous des apparences » ou « l’habit ne fait pas le moine ».
2ème Lot : Lilly, 32 ans
Cela faisait deux mois que je flirtais avec Guillaume. Il était gentil. Pas très futé, jeune (trop), ni trop beau, ni trop moche. Mais il était gentil … Bref, j’avais besoin de câlins, et d’une épaule sur laquelle me poser, et il était là. Seulement voila, côté couette il n’était pas non plus « tip top » et son engin, de la taille d’un haricot, n’arrangeait pas le schmilblick. J’étais seule, c’était mon « fuck friend » (plus friend que fuck). J’assume … jusqu’au jour où en pleins ébats, au moment où monsieur commençait à se décoincer furieusement, me prit en levrette et oubliant ma présence, se lâcha dans tous les sens du terme. Le bruit, énorme, imita le son d’un pétard, l’odeur, celle d’une boule puante.Ni dégoutée, ni outrée, mais ennuyée de l’enfoncer dans ce malaise, aucun mot ne sorti de ma bouche et je fis comme si rien n’était. Sauf que Guillaume ne sachant que faire, hormis rester poli jusqu’au bout, et au lieu de se comporter comme moi, arrêta de remuer son bassin et dit : « pardon ». Un ridicule petit pardon. Aaaaaaaahhhhhh !!! En l’espace d’une seconde, malgré mon tact certain et mon sens de l’amitié, je ne pus me retenir plus longtemps.
Prise d’un fou rire explosif, j’ai failli me faire pipi dessus (et sur lui aussi d’ailleurs !). Bien évidemment, on arrêta là les câlins entre amis et depuis qu’on est que « copains », il me reproche encore cet événement pour le moins drôlissime ! Ce fût bien entendu ma pire (et comique) expérience sexuelle.
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