Interview des Starliners, le boys band 2011 qui fait craquer les filles

Starliners, c’est LE nouveau groupe pop-rock français du moment. Ils sont originaires d’Arles, ont entre 21 et 23 ans et sortent leur premier album « Hello » à la rentrée 2011. Formé en 2007, le quatuor fait la promo de son premier single extrait de l’album : « I Love You Mais Encore ». Leur univers se situe aux frontières du rock, de la pop, de la new-wave et de l’électro. Nous avons rencontré Hugo (chant et guitare), Jean-Baptiste (guitare et clavier), Tony (basse) et Olivier (batterie). Croyez-nous les filles, nous n’avons pas fini d’entendre parler d’eux !

D’où vient le nom de votre groupe ?

Jean-Baptiste : Starliners, c’est le nom d’un avion. On a voulu appeler notre groupe comme ça parce que notre musique a quelque chose d’aérien.

Comment décririez-vous votre univers musical ?

Olivier : Nous sommes un groupe de rock mais nous n’avons pas vraiment de règles. On est tentés par pas mal d’expériences qui diffèrent du rock. Nous sommes très influencés par la pop par exemple.

Comment vous êtes-vous rencontrés tous les quatre ?

Olivier : Hugo et moi nous sommes rencontrés à la maternelle. Tony et Jean-Baptiste au lycée. Mais avant d’être un groupe on est surtout une super bande de potes. 

Quels sont les qualités et les défauts de chacun d’entre vous ? 

Tony : Jean-Baptiste est rigoureux et ponctuel. Je ne l’ai jamais vu arriver une seule fois en retard. Hugo, lui, a beaucoup d’inspiration. C’est un mec très talentueux. C’est aussi le leader du groupe, il ne faut pas l’oublier (rires). Il est perfectionniste mais arrive tout le temps à la bourre ! A croire qu’il aime se faire désirer (rires) ! En ce qui concerne Olivier, il nous apaise tous. C’est un garçon très calme et arrangeant. Mais il est aussi très rêveur voire tête en l’air.

Jean-Baptiste : Ce que j’aime chez Tony, c’est son entrain. Il est motivé, travailleur et apprend très vite à jouer d’un instrument. Pour ce qui est de ses défauts, c’est un nerveux, un vrai pilote de Formule 1 (rires) !

Quelles sont les thématiques abordées dans votre album ?

Hugo : Nous avons commencé à travailler sur notre album au lycée, quand nous étions de jeunes insouciants rêveurs. Je crois que nous le sommes toujours d’ailleurs (rires) ! « Hello » porte deux regards sur le monde : celui de l’enfant et celui de l’adulte. L’album parle de la vie, des filles, du premier amour, de la première rupture, de la maladie, de la perte d’un proche. En un mot, du vécu. 

Sur douze titres, quatre sont en anglais. Pourquoi avoir choisi de faire un album bilingue ? 

Hugo : Certaines chansons, de part leur rythmique, se prêtent tout particulièrement à l’anglais. On a pas mal voyagé et depuis tout petit on est fascinés par la culture saxonne. D’ailleurs on est plutôt à l’aise en anglais. 

A quels groupes vous identifiez-vous ou desquels vous inspirez-vous ? 

Olivier : Les Killers, sans hésiter car c’est le plus anglo-saxon des groupes américains. 

On vous compare souvent à Phoenix et à Oasis. Qu’est-ce que ça vous fait ?

 Hugo : Nous n’attachons pas beaucoup d’importance aux comparaisons. Mais c’est vrai que ça fait toujours plaisir à entendre. 

Préférez-vous créer ou monter sur scène ? 

Olivier : J’ai une petite préférence pour la scène. Car si on compose, c’est surtout pour se produire ensuite. Ce qui est sûr, c’est que dans les deux cas, il y a des émotions fortes. 

Parlons mode à présent. Quel est votre look sur scène et dans la vie de tous les jours ?

Hugo : Je m’habille de la même manière sur scène que dans la vie. Je ne me fabrique pas un style pour la scène. Je suis né avec le Slim. En présence féminine, j’aime bien mettre un chapeau (rires) ! Je ne suis pas très branché marques. Par contre, quand un tee-shirt me plait, je suis du genre à me l’acheter en vingt exemplaires pour pouvoir le mettre tous les jours (rires) !

Olivier : On adore le style à l’anglo-saxonne. Et comme je dois porter des lunettes, autant qu’elles se voient ! 

Vous devez surement avoir une petite anecdote à nous raconter ? 

Jean-Baptiste : Il nous est déjà arrivé de faire monter toute une salle sur scène pour les faire danser.

Tony : Un jour, on est monté presque à poil sur scène.

Hugo : Ce soir là, d’ailleurs, on a vendu cinq fois plus de merchandising (rires) ! 

Et pour finir cette interview, quel est votre style de filles ? 

Tony : Aucun de nous quatre n’a le même style de fille. Et c’est très bien comme ça ! Moi, il faut qu’elle soit mince, de préférence brune et surtout pas trop grande vu ma petite taille (rires) !

Olivier : Je n’ai pas vraiment de style prédéfini. Mais j’avoue aussi avoir une petite préférence pour les brunettes.

Hugo : Il faut qu’elle me fasse rire. Pas forcément H24 mais qu’elle est un minimum d’humour. J’aime bien les blondes, pas trop grandes. En ce qui concerne la tenue vestimentaire, les rockeuses me font craquer. Les parisiennes faussement sages aussi ! J’aime les filles qui ont du caractère.

Jean-Baptiste : Mon idéal, c’est une fille grande, belle, drôle, intelligente et qui a de la conversation. Une fille qui a une passion pour qu’elle comprenne la mienne pour la musique.

Merci à tous les quatre pour vos réponses et bonne chance pour la suite.

Merci à Trucdenana !

En ce moment, les Starliners sont en tournée dans les grandes villes françaises. Si ce n’est pas déjà fait, c’est l’occasion de découvrir leur univers au combien séduisant !

Propos recueillis par Emeline Salomez