Leçon sur les caresses vaginales…

Bien sûr, quel gentleman n'a jamais caressé sa belle de son majeur ?

Mais il y a différentes façons de s'en servir. Selon l'élasticité du vagin, son état d'excitation et l'envie de votre partenaire, vous pouvez entrer un ou plusieurs doigts. Jusqu'à trois doigts peuvent être entrés chez la plupart des filles suffisamment excitées. Au-delà, c'est plus rare mais certaines aiment davantage de doigts, jusqu'aux cinq doigts, voir même la main (on appelle cela un fist-fucking). Peu de femmes aiment cette dernière pratique, et je dois dire que je ne la recommande pas du tout : bien trop dangereuse pour la santé. Je préfère des pénétrations plus classiques avec un ou deux doigts.

Le désavantage d'un doigt par rapport à un pénis… : il est bien entendu beaucoup moins long et moins épais (enfin, en principe).

Avantages : il est bien plus maniable. Il peut exécuter des mouvements et se rendre en des endroits impossibles à atteindre pour le pénis. Ainsi, si les mouvements de va et viens classiques sont acceptés, le mieux est de faire tout ce que le pénis ne peut pas faire.

Soit :

– Mettez votre majeur à environ cinq centimètres de profondeur (soit à peu près tout le majeur en général) et relevez le doigt, comme pour faire signe à quelqu'un d'approcher. Vous caresserez ainsi la paroi supérieur du vagin correspondant au point G (certaines filles y sont sensibles, d'autres non). Faites ainsi gonfler cette paroi, puis accélérez le mouvement.

– Faites trembler votre majeur, par un alliage subtil de mouvement du poignet et du doigt. Cela demande un peu d'entraînement mais une fois que vous savez bien le faire, ça fait souvent un effet énorme.

– Faites entrer deux doigts et frottez-les l'un contre l'autre.

– Faites de larges mouvements du majeur, de façon à vous enfoncer dans chaque paroi : en haut, en bas, sur les côtés.

– Enfin, au cours de tous ses mouvements, regardez-là et repérez ce qui lui plaît le plus.

A faire lire à votre chéri d’un soir ou d’une vie !

Par Eros et Logos