Google, moteur de recherche préféré des internautes, Google earth, Google maps, Google mail, Google AndSwer, Google AdWords, Google AdSense , Google est absolument partout. Nous ne sommes donc pas surpris de voir le géant du Net sortir son navigateur Internet, devenant ainsi un redoutable concurrent d’Internet Explorer, Mozilla Fire Fox ou encore d’Opéra. Mais la […]
Google, moteur de recherche préféré des internautes, Google earth, Google maps, Google mail, Google AndSwer, Google AdWords, Google AdSense , Google est absolument partout. Nous ne sommes donc pas surpris de voir le géant du Net sortir son navigateur Internet, devenant ainsi un redoutable concurrent d’Internet Explorer, Mozilla Fire Fox ou encore d’Opéra. Mais la grande question est : que vaut vraiment Google Chrome ? Pour le moment seuls les utilisateurs de Microsoft peuvent s’essayer à la nouveauté, le navigateur Google Chrome n’étant pas encore accessible aux utilisateurs Linux ou Mac. En tout cas, le petit dernier nous réserve de belles surprises.
Prendre l’utilisateur par la main, Google sait faire et nous le prouve encore une fois. L’installation est simplissime, le fichier ne pèse quasiment rien (475 ko). Une fois l’application lancée, nous ne sommes pas étonné de retrouver une interface simple, claire, et totalement dépouillé d’outils inutiles. Le style Google est bien là, avec, il faut le reconnaître, un look très proche du navigateur Opéra : les onglets s’affichent sur le haut de la fenêtre et peuvent être réordonnés selon le bon vouloir de l’utilisateur. Pas de grandes nouveautés, un peu de déjà-vu et déjà une déception : on ne peut rien personnaliser. L’interface est dès plus propre, peut-être trop aseptisé puisqu’on ne peut pas changer le thème ou y ajouter d’autres boutons. Mais que tout le monde se rassure, il faut rappeler que Chrome n’est encore qu’un nouveau né.
Ca va vite, ca va même très vite. Les pages s’affichent sans problème et surtout sans prendre de temps. Dans un monde où tout va toujours plus vite, la qualité est grandement appréciée. Une rapidité que l’on doit à WebKit et un moteur JavaScript « V8 » flambant neuf. Pour les néophytes, Webkit c’est une bibliothèque de fonction qui permet aux développeurs d’intégrer un moteur de rendu de pages web. En simplifié, c’est la bête qui fait fonctionner Google Chrome. Ce n’est pas nouveau, puisque les utilisateurs de Linux et de Mac avaient l’habitude d’utiliser ce moteur (peut-être sans le savoir) en lançant le navigateur Safari. D’ailleurs, la belle vitesse calculée de Google Chrome égale celle de la nouvelle version de Safari, mais ne la dépasse toujours pas.
On apprécie également la stabilité de Google Chrome. Lorsqu’une page web est ouverte dans un onglet est que celle-ci bug, car mal codée, les autres onglets sont toujours accessibles. Le problème du site visité n’affecte pas nos autres recherches. Une bonne nouvelle que l’on doit à une technologie nommée « multiprocessus ». Celle-ci permet tout simplement de gérer chaque onglet ouvert indépendamment des autres. Lorsque le site ouvert n’est pas au meilleur de sa forme, l’utilisateur peut tout simplement le fermer, ou analyser son statut grâce au gestionnaire de tâche embarqué dans Google Chrome.
Commençons par l’historique. Au démarrage, l’interface de Chrome nous propose de mettre sous forme de vignettes nos sites les plus visités. Un choix intéressant qui permet de meubler la belle page blanche. On peut également faire ‘’la très simple manipulation’’ « ctrl + H », et voir apparaître une page détaillant notre navigation. On regrette néanmoins l’impossibilité d’accéder à la liste des adresses par la barre d’adresses. On dit également bye bye au champ de recherche, celui-ci a fusionné avec la barre d’adresse baptisée « omnibox ». Si le moteur de recherche par défaut est bien évidemment Google, l’utilisateur a toujours la possibilité d’ajouter sa préférence dans les options du navigateur.
Chrome est au final un navigateur Internet performant, qui pour l’instant n’est pas encore le top, mais qui s’offre de part sa stabilité et sa rapidité, un avenir prometteur.
Par Belinda Kheddouche
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