Du 16 au 27 Mai Cannes est sous les feux de la rampe. Année exceptionnelle le festival de Cannes a 60 ans, les fameuses marches sont la cible de tous les projecteurs de la terre.
Strass, paillettes, glamour on sort le grand jeu. C’est décidé cette année on est la plus belle sur le tapis rouge du Palais des Festivals, avant de se laisser enivrer par les folles nuits cannoises.
Robes fendues, drapées démesurées ou option mini, l’heure des nuits blanches a sonné. Les jambes et les peaux se dévoilent avec éclat pour une allure de star sous le crépitement des flashs des paparazzis.
Version drapé inventé par Madeleine Vionnet, robe fluide, légère plutôt longue coupée en biais. D’une extrême élégance, elle donne une allure chicissime et rend folle les actrices du monde entier. Convient à toutes les morphologies, surtout aux grandes et aux femmes avec des rondeurs comme Kate Winslet, on opte alors pour un grand décolleté.
On la choisit dans des nuances rayonnantes, qui reflètent la lumière par exemple couleur chair.
Robe boule ou trapèze, style qui change de la robe cloche toute bête. Mieux vaut éviter les matières trop brillantes ou trop voyantes. Look simple et frais. On optera pour du blanc ou du beige. La robe boule permet de cacher les hanches et les fesses. Attention pour être sexy la robe boule doit être mini.
La robe bustier, longue ou courte peu importe, elle donne un côté Grace Kelly. Longue on la choisira en crêpe, en soie, pour un effet voluptueux, dans des notes azurées, dans des tons acidulés ou plus flashy. Courte elle donne un effet pin-up, en noire le glamour à l’italienne marche toujours. La robe bustier est top pour les petites poitrines et fait toujours de l’effet. Peut se porter avec des ballerines ou des talons vertigineux.
Robe empire, ne marque pas les hanches, permet de déplacer la taille vers le haut pour donner une impression de jambes plus longues, elle met également en valeur le décolleté. A bretelles larges elle casse la carrure des épaules carrées. On l’aime en blanc sur une peau bronzée.
La mini, on ose les couleurs, on joue la femme fatale. La mini à une sensualité mystérieuse on l’aime en satin découpe rétro et vintage. La mini façon 60’s graphique, noire, à sequins on la choisit assez courte pour laisser voir les gambettes et on la joue sexy dans l’attitude. Le mini futuriste lamé, avec paillettes l’option séduction se joue avec éclat. Spécial jet-setteuses qui sont sûres de briller à l’heure du dance-floor.
Par Célia Farina
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